Certains entreprises commencent à facturer un supplément pour les produits d'occasion

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Certains entreprises commencent à facturer un supplément pour les produits d'occasion

Une tendance inquiétante émerge sur le marché des produits d'occasion. En effet, certains entreprises ont décidé de facturer un supplément pour ces produits, ce qui suscite de vives inquiétudes chez les consommateurs. Cette pratique, qui semble s'étendre à plusieurs secteurs d'activité, a pour but de maximiser les bénéfices des entreprises, mais risque de pénaliser les acheteurs. Les consommateurs, qui ont déjà du mal à faire face à la hausse des prix, s'inquiètent de cette nouvelle charge financière. Dans cet article, nous allons examiner les raisons derrière cette décision et les conséquences attendues sur le marché des produits d'occasion.

Les entreprises imposent un supplément pour les produits d'occasion

Une souscription, c'est une esclavage. Vous êtes esclave de l'entreprise, qui augmente les prix à sa guise tous les 6 mois, comme c'est le cas avec le streaming télévisuel, ou retire et ajoute des fonctionnalités sans demander. Cette pratique commence à se généraliser dans certaines entreprises, qui facturent un supplément pour utiliser des produits de seconde main.

Les exemples de Peloton et Happiest Baby

Les exemples de Peloton et Happiest Baby

Peloton, une entreprise qui commercialise des articles de fitness, notamment des vélos stationnaires avec écran, associés à des cours d'entraînement en ligne, est un exemple frappant de cette pratique. Ses produits ne sont pas donnés : ces vélos et ces lits coûtent plus de 1 500 euros, mais nécessitent également des souscriptions, et vous devez payer plus si vous avez acheté le produit de seconde main.

Peloton réclame une souscription mensuelle de environ 30 euros pour accéder à ses cours et programmes d'entraînement associés à ses vélos stationnaires. Depuis quelques jours, elle ajoute une taxe d'activation d'environ 100 euros à ceux qui n'ont pas acheté la bici dans un établissement autorisé, c'est-à-dire, la utilisant de seconde main.

Peloton a connu une forte croissance pendant la pandémie, mais a subi des pertes au cours des deux dernières années. En mai dernier, elle a licencié 400 travailleurs.

Happiest Baby, un autre exemple

Happiest Baby, un autre exemple

Happiest Baby, une entreprise qui commercialise la couveuse intelligente Snoo, qui coûte 1 700 dollars, fait également partie de cette tendance. Cette couveuse enregistre les mouvements du bébé et se déplace à plus ou moins grande vitesse pour qu'il se dise, ou ne se réveille pas. Elle a même un mode qui simule le mouvement d'une voiture, pour que vous n'ayez pas à monter votre bébé dans votre propre voiture jusqu'à ce qu'il se dise, comme le font de nombreux parents.

Happiest Baby a instauré une souscription mensuelle de 20 dollars qui inclut des fonctions de base de cette couveuse intelligente, comme le mode voiture, ou l'ajustement du mouvement en fonction de l'enregistrement du sommeil du bébé.

Cette souscription est gratuite pendant 9 mois pour ceux qui achètent Snoo dans un établissement autorisé. C'est exactement le temps que passe un bébé dans ce type de couveuse, donc les acheteurs du produit neuf bénéficient d'une souscription gratuite. Ceux qui utilisent le produit de seconde main doivent payer la souscription. Neuf mois représentent 180 dollars.

Si vous ne payez pas, vous perdez les fonctions les plus importantes de cette couveuse intelligente, ce qui signifie qu'elle perd toute son utilité, malgré son coût élevé.

Les produits de seconde main, une menace pour les entreprises ?

Les produits de seconde main permettent d'économiser et réduisent les déchets électroniques. Mais certaines entreprises ne veulent pas que vous les utilisiez, et ont commencé à facturer un supplément. Ce n'est pas la meilleure solution pour gagner des clients, ou les rendre contents.

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Étiquettes : souscription, industrie, seconde main

Alain Laurent

Je suis Alain, un expert en technologie sur la page web Info Général. En tant que contributeur de ce journal généraliste, j'analyse l'actualité technologique avec rigueur et objectivité. Mon objectif est d'informer et de guider les lecteurs à travers les dernières tendances et innovations du monde de la technologie. À travers mes articles, je m'efforce de fournir des informations pertinentes et fiables pour aider chacun à rester à jour dans ce domaine en constante évolution.

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